En recueillant l’information sur plusieurs sources, on trouve qu’entre 1994 et 2013, au moins 70.000 blancs ont été tués par des noirs en Afrique du Sud. Ces hommes et ces femmes ont été tabassés, brûlés, poignardés, mutilés, violées et souvent tués. Le gouvernement post-apartheid refuse d’établir des listes incluant l’ethnicité et a même interdit aux rapports de police de mentionner l’identité raciale tant des tueurs que des victimes.
Les médias officiels ne vous en parleront pas. Ils n’évoquent jamais les histoires vécues de ceux qui ont survécu à ces attaques et encore moins de ceux qui sont morts. S’ils parlent de décisions officielles, comme celle prise il y a peu de déposséder les fermiers blancs au profit d' »anticolonialistes » assoiffés de sang blanc et de masses noires à la démographie toujours galopante, c’est en s’efforçant de noyer le poisson à coups de statistiques douteuses ou avec un discours du type « bon, des blancs se font tuer, mais ça arrive à n’importe qui, il faut le savoir, et puis il y a le suprémacisme blanc (mot psychologique) donc c’est pas grave, rendormez-vous… »
Un journaliste indépendant a collationné les sources, enlevé certains noms de Blancs ayant survécu aux attaques, et arrive à un total de presque 70.000 tués de 1994 à 2013. En 2018, le chiffre est certainement plus élevé, et l’auteur de la liste demande aux sud-africains de partager eux-mêmes le nom de leurs proches pour crowdsourcer, aucune ONG ni institution officielle ne faisant le travail. Néanmoins, ajoute l’auteur, « il est temps d’arrêter de parler de nombres et de statistiques. »
Ces 70.000 tués ne sont pas des unités abstraits, mais de vraies personnes qui font l’objet d’un véritable génocide que le gouvernement de l’ANC et les institutions officielles passent constamment sous silence. « À mon avis, si la liste était vraiment complète, on arriverait plutôt à un chiffre de 125.000, et vu le rythme auquel les Blancs se font tuer aujourd’hui, cela pourrait bientôt atteindre un million. Les meurtres se sont faits plus nombreux et plus cruels depuis le 1er janvier 2017. Ce sera le premier génocide de l’histoire de l’humanité à être ignoré de tous », y compris d’une majorité de remplacés ou en voie de l’être en Occident, pendant qu’il a lieu.
Comme l’Algérie et le Zimbabwe, l’Afrique du Sud était autrefois un pays prospère. C’était, aussi et surtout, un pays construit par des pionniers blancs. Depuis, ceux qui ont construit le pays se sont fait voler, expulser, souvent tuer, et avec leur départ le pays a sombré dans la pauvreté. L’Algérie, autrefois grenier de l’Afrique du Nord, doit aujourd’hui importer sa nourriture, laisse des Chinois construire son métro, et vit essentiellement de la rente pétrolière. Le Zimbabwe ne produit plus de nourriture depuis que les fermiers blancs ont été massivement expulsés (du moins, ceux qu’on n’a pas tués) et Robert Mugabe, qui avait affirmé que « l’homme blanc est un vrai ennemi » et que les tueurs de Blancs resteraient impunis, supplie aujourd’hui les « colonisateurs » de revenir pour le nourrir. L’Afrique du Sud prend aujourd’hui le même chemin.
En attendant, la pétition demandant au président Trump d’accepter les Blancs menacés d’Afrique du sud comme réfugiés (enfin de vrais réfugiés qui plus est…!) a atteint les 16.200 signatures, tandis qu’une autre pétition, demandant à l’UE de faire de même, a dépassé les 64.000 signatures avant d’être apparemment fermée par change.org.
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