Le site gangrapesweden.com a été signalé à la police pour violation de la loi sur les données personnelles (PUL) puisqu’il a publié les détails des infractions 83.000 de personnes, comme les jugements contre, entre autres, des violeurs. Le site est censé être un registre du crime des immigrés.
C’est vendredi que Nordfront et le site Gangrape Sweden ont lancé « la plus grande base de données sur le crime des immigrés ».
Au total, 83.656 personnes en violation de la loi entre 2014-2015 ont été publiées sur le site. Des informations sur les Suédois et les immigrés y sont incluses. Par exemple, si vous cliquez sur «Violence par des groupes d’hommes», tous les délinquants condamnés seront énumérés avec leurs noms complets, les sanctions, les décisions d’expulsion, etc. Vous pouvez également rechercher tous les prisonniers avec leur date d’anniversaire.
Les gens eux-mêmes soulignent que le projet est une «analyse» de plus de 140 000 cas juridiques.
Ce site serait pour la police une violation grave de la loi sur les données personnelles (PUL).
« Il y a quelque temps, une source secrète d’une grande quantité d’informations de l’esprit du contenu des systèmes informatiques des services de probation au Front Nord. Il y avait des fichiers toutes 168.000 des décisions de sanction prises au cours de la période du 10 mai 2004-8 Janvier 2015 et couvre donc toutes les décisions concernant les reçu des peines d’emprisonnement en Suède au cours de cette période. de ce nombre, 141 000 décisions sur un total de 83 656 personnes, dont 45 921 étaient des Suédois et 37735 étaient des non-Suédois.
Toute décision dite de sanction contient diverses tâches telles que la date de la décision, le nom, le numéro de sécurité sociale, le tribunal, le numéro de destination, la date du jugement, la période d’emprisonnement, la région et le lieu de l’enquête.
Les informations publiées, entre autres, montrent que parmi toutes les personnes condamnées à une peine d’emprisonnement entre 2004 et 2014, 45,1% étaient des non-Suédois. Parmi les condamnations qui ont duré 9 et 10 ans de prison, ce sont respectivement 70,0 et 68,8% de «non-Suédois».
Parmi les cas de violence de groupe, 118 des auteurs, soit 82%, sont des immigrés, tandis que 26 sont suédois. La surreprésentation pour les immigrés est estimée à 18,2.
L’enquête affirme également que le coût direct du crime des immigrés dépasse largement les 20 milliards de couronnes suédoises par an.
Source : Friatider
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