L’illusion aura duré environ cinq mois, et encore, pour les plus naïfs d’entre nous (les socialistes, comme toujours) : le centre de shoot inauguré par un duo de gauchistes écervelées en octobre 2016 se révèle déjà un sinistre fiasco, et pour cause… les bandes rivales ne tardent pas à se (re)former autour du quartier, chacune voulant sa part du magot autour des cadavres en sursis, drogués et amis de la gauche.
le quotidien des riverains (source: le figaro)
Il faut tout de même rappeler que l’usage de stupéfiants reste puni par la loi française d’un an d’emprisonnement et de 3750 euros d’amende (source : code de la santé publique) mais cela n’a pas gêné nos amis socialistes qui, par un habile montage juridique, ont donc permis de normaliser la situation de gens à priori sous le coup de l’illégalité. Des gens qu’on abandonne devant l’inéluctable, préférant les assister dans leur suicide collectif plutôt que au choix, les sensibiliser davantage sur le sujet ou les coller au trou pour les convaincre définitivement d’arrêter.
La question est permise de se poser, jusqu’où ira la Gauche dans la création de ces dispositifs contournant la loi ?
Bientôt des salles de meurtre, ou l’on pourra légalement assassiner son voisin acariâtre ? Ou bien tiens je ne sais pas, des salles d’incitation à la haine et de préparation à la guerre ?
Ah mince, on me fait signe que dans le second cas ça existe déjà. Il parait que ça s’appelle des mosquées.
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