#Bouchemaine 🇫🇷 Badr Smati assassine son ex Estelle et la jette dans la Loire puis joue le faux cul sur les réseaux sociaux

Estelle Veneut, assistante pédagogique à l’Université catholique de l’Ouest d’Angers, avait disparu jeudi soir à Bouchemaine après un pot de départ à la retraite d’une collègue.

Badr Smati, son ancien compagnon de la diversité, a d’abord diffusé hypocritement des avis de recherche sur les réseaux sociaux. « Merci de partager et surtout de donner la moindre nouvelle. Même qui semble insignifiante. Je vous en supplie », écrivait-il, notamment, sur sa page Facebook. Il avait même changé sa photo de profil pour la remplacer par celle d’Estelle Veneut, souriante.

Pendant ce temps, la malheureuse femme de 34 ans était au fond de la Loire. Badr Smati le savait, puisque c’est lui qui s’est débarrassé de son corps dans le fleuve après l’avoir sauvagement étranglée.

Badr Smati, 33 ans, s’était d’ailleurs présenté aux gendarmes en audition libre, vendredi matin. Mais selon une source proche de l’enquête, ses déclarations, confuses, avaient semé le trouble dans l’esprit des enquêteurs. Les propos de la fille âgée de 6 ans que le couple avait en commun, recueillis à la Permanence d’accueil pédiatrique de l’enfant en danger (Paped), avaient renforcé leurs doutes. Grillé, le tueur mythomane a dû avouer son crime.

L’enquête se poursuit. Une dispute conjugale serait à l’origine du drame, poussant le psychopathe Badr Smati à l’étrangler à mort. Il a reconnu s’être ensuite débarrassé du corps et de la voiture de sa compagne dans la Loire, aux environs de la commune de Béhuard. Les recherches s’y poursuivaient, dimanche, pour retrouver son cadavre. Selon les informations d’Ouest France, Badr Smati, présenté comme un homme particulièrement jaloux, était séparé de sa compagne depuis 3 semaines.

Avis aux femmes : lorsque vous sortez avec un divers qui n’a pas totalement été reprogrammé par les valeurs occidentales, c’est pour la vie. Il n’y a pratiquement qu’en Occident qu’on considère possible pour une femme de survivre à une séparation ou de tenir tête à un homme lors d’une dispute conjugale. Le 19 décembre dernier en Allemagne, par exemple, un jeune Afghan se noyait en essayant désespérément de noyer sa copine allemande suite à une dispute, selon leurs coutumes.

Le divorce existait déjà chez nos ancêtres celtes, mais dans de nombreux pays du tiers-monde il n’y a que la répudiation qui ait jamais existé : la possibilité pour un homme de se débarrasser de sa femme, mais sans la tuer — ce qui est considéré dans ces shitholes comme un droit de la femme.