Meubles endommagés, bibles détruites, plinthes électriques arrachées, les Syriens en ont fait voir de toutes les couleurs.
Source : LePeuple.ca
Quand le Canada avait accueilli ses premiers réfugiés syriens en décembre 2015, le premier ministre Justin Trudeau s’était rendu lui-même à l’aéroport Pearson, de Toronto, pour leur souhaiter la bienvenue. Arborant un sourire jovial, il avait déclaré : « Sortis de l’avion ce soir en tant que réfugiés, ils ressortiront de l’aérogare en tant que résidents permanents au Canada avec un numéro de sécurité sociale, une carte de santé et une opportunité de devenir pleinement canadiens ».
Dans un grand élan d’enthousiasme partagé par une escouade de médias complaisants, le Canada a fini par accueillir, en tout, une cinquantaine de milliers de réfugiés syriens. Au sein du cabinet Trudeau, on s’était félicité de cette initiative, mais dans les hôtels qui avaient hébergé quelques-uns de ces réfugiés, l’humeur était plutôt maussade.
Le média en ligne The Rebel a mis la main sur des documents, dont quelques courriels échangés entre des directeurs d’hôtel et des fonctionnaires canadiens, qui montrent que des réfugiés avaient carrément mis le bordel dans les hôtels.
Destruction, vols et urine
À voir ces courriels envoyés par les directeurs aux fonctionnaires du gouvernement fédéral, on peut dire qu’ils avaient complètement perdu le contrôle de leur établissement. Deux de ceux-là s’étaient plaints que des Bibles et des bottins téléphoniques avaient été détruits. Dans un hôtel, des plinthes électriques avaient même été arrachées des murs.
Mais ce n’est pas tout. Des meubles avaient été endommagés, de la nourriture jetée sur le plancher des corridors, des verres abandonnés dans le lobby, des brochures touristiques déchirées et laissées par terre, des toilettes bouchées par de l’emballage de nourriture, des oreillers et des serviettes volées. Un directeur a affirmé que des réfugiés avaient laissé des marques de stylo à bille sur le papier peint des murs de certaines chambres, des dommages évalués à 500 $ par unité. Le pire : des enfants auraient uriné tout juste devant un hôtel.
C’est peu dire que les membres du personnel de ces établissements n’ont pas eu la vie facile. Des réfugiés étaient choqués quand on exigeait d’eux qu’ils cessent de fumer dans leurs chambres. Certains insistaient pour qu’on leur serve de la nourriture syrienne, ce que ne pouvaient offrir les hôteliers.
Des gîtes qui ont coûté cher
Les contribuables ont dû par ailleurs débourser des millions pour l’hébergement des réfugiés syriens dans les hôtels canadiens. Par exemple, il en a coûté 3 M$ uniquement pour le Quality Hotel à Toronto, 2,5 M$ pour le Quality Hotel de l’aéroport de Montréal, 1,9 M$ pour le Travelodge à Dorval, un autre 1,9 M$ pour le Sheraton Guildford à Vancouver et 1 M$ pour le Four Points Sheraton à Victoria.
Source : LePeuple.ca
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