Vendredi soir, à 18 h, une centaine de migrants se sont présentés au gymnase du collège public Échange, rue Gaston-Tardif, soutenus par l’association Un toit c’est un droit.
« Les occupations se multiplient et rien ne se profile en termes de lieu pérenne, regrette Armelle Bounya, présidente de l’association. Nous avions prévenu la mairie. Elle a envoyé des personnels des services techniques ici, pour nous donner des consignes de sécurité. »
Albanais, mais aussi Géorgiens, Mongols, Congolais… Ils sont sans papiers, demandeurs ou déboutés du droit d’asile. « Les uns attendent un hébergement en CADA (centre d’accueil pour demandeurs d’asile), le 115 est submergé de demandes et les hôtels n’ont plus de place, à la veille du Space », le salon professionnel de l’agriculture. « Les autorités ne proposent aucune solution », déplore Un toit c’est un droit (…)
Source : Ouest France
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