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Commémoration du 11 novembre : une africaine en boubou chante « Blewu » devant le regard médusé des chefs d’État du monde

Décidément, les Béninois sont doués pour invisibiliser les blancs dans leur propre pays, même dans les commémorations de leurs morts.

La chanteuse béninoise Angélique Kidjo a chanté « Blewu » lors de la commémoration des 100 ans de l’Armistice de la Première Guerre mondiale à l’Arc de Triomphe. Les blancs n’ont plus le droit d’avoir d’Histoire, il ne peuvent même plus se recueillir et honorer leurs morts sans qu’on vienne leur introduire des chants africains dans les oreilles.

Bientôt nous aurons droit à quoi ? Des chants aborigènes pour célébrer le 14 juillet ? Un festival de flûte de pan pendant la commémoration de la Shoah ?

Message à ceux qui dépriment face à ce nouveau scandale : ne vous en faites pas, ce genre d’insulte à nos morts permet de polariser le spectre politique français. Face à ce foutage de gueule, on finit par avoir d’un côté des blancs assez fous pour accepter ce genre de chose (comme pour Jeanne d’Arc du Bénin), et de l’autre les blancs susceptibles d’adhérer plus facilement à nos idées.

Par là, le peuple français est davantage scindé et tiré vers les extrêmes : la soumission absolue, ou le rejet identitaire de la tourbe cosmopolite.

Les événements comme celui-ci ou bien le clip « Pendons les blancs » de Nick Conrad sont une bénédiction : cela permet de lever les masques et aussi d’accélérer le réveil de nombreux blancs.

Petit à petit, gauchiste se transforme en une insulte. Leurs attaques symboliques sont de la pure guerre psychologique, mais matérialisent ce pour quoi on se bat : on ne passe plus pour des fous quand on dénonce la destruction de notre identité et la haine anti-blanc.

Haut les cœurs !

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