Unis pour la réussite scolaire (Unirsco) organisait ce samedi sa première réunion publique sur les violences scolaires. Le collectif né à Créteil souhaite fédérer ses actions avec d’autres organisations issues des quartiers populaires.
« Les problèmes de l’extérieur viennent à l’intérieur des établissements. Nous voulons de la mixité scolaire, nous voulons du blanc dans nos établissements », soutient Salika Amara.
«Il faut sauver nos gosses, l’école n’est plus un sanctuaire aujourd’hui». C’est le constat fait par Salika Amara, ancienne enseignante et membre du collectif Unirsco (Unis pour la réussite scolaire), constitué à Créteil en septembre 2018 et très actif depuis sa création. […] «Nous avons été alertés par la violence [des jeunes] et nous avions fait des maraudes suite à ces violences, précise Ouarda Iratni, de l’association Parents, membre d’Unirsco. Les jeunes ne touchent pas aux daronnes, il n’y a eu aucun trouble dans les cinq quartiers où nous étions présents à Créteil. Nous sommes des simples mamans et la mère est sacrée chez eux.»
Le collectif Unirsco se veut aussi actif sur les problèmes de discriminations au sein des établissements scolaires : «Les parents nous sollicitent, notamment les mères voilées» , confie Salika Amara, également membre de l’association Filles et fils de la République.
Source :Â Yahoo/Le Parisien
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