À la Pentecôte, l’accusé Seydou N. (27 ans) avait croisé à Roßlau une jeune écolière. La fillette était dans la  avec sa peluche sous le bras pour jouer sur les rives de la Elbwiesen. Lors du procès, l’accusé était resté silencieux. Mais vu les preuves accablantes, le demandeur d’asile du Niger n’avait aucune chance.
Les passants avaient maîtrisé l’auteur et l’avaient arrêté. Dans son sac à dos se trouvait toujours le couteau avec lequel il avait menacé Mia [précédemment nommée « Julia » probablement pour des raisons légales] lors du viol. […]
L’avocat Marco Bennewitz, qui représente les parents de la victime en tant que codemandeur, a présenté une requête pour une peine de huit ans et demi. L’avocat considère que le prévenu manque totalement d’empathie et déclare à son sujet: « Poussé par sa propre convoitise, il a rétrogradé la petite fille à l’objet ».
Le défenseur de Seydou N. a demandé au tribunal, dans ses remarques finales, de n’imposer qu’une peine de cinq ans d’emprisonnement à son client.
Le tribunal s’est prononcé sur une amende entre les demandes de poursuite et de défense. Cinq ans et demi d’emprisonnement!
Le tribunal le  condamne à cinq ans et demi d’emprisonnement!
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