Depuis 2008, un groupe entier de la Brigade criminelle s’est spécialisé dans la traque du financement de l’État islamique.
Frapper les djihadistes au portefeuille pour mieux les faire tomber, un peu à la manière des barons de la drogue ou des «figures» de la prohibition d’antan. Terriblement efficace, l’attaque de l’islam radical et de ses réseaux sous l’angle financier est devenue l’un des points forts de l’antiterrorisme. Depuis 2008, un groupe entier de la Brigade criminelle travaille sur cette matière sensible et donne des résultats.
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