Incroyable, enfin une grosse industrie se démarque et tente la ligne anti-gauchiste en se moquant ouvertement du politiquement correct !
Le jeu vidéo DOOM Eternal (a paraitre en 2019, suite du remake du classique DOOM des années 90, sorti en 2016), ose se foutre de la gueule de l’immigrationnisme. Une première, dans une œuvre mainstream récente.
25 minutes de pure testostérone, avec des gros bouts de politiquement incorrect.
DOOM, c’est du feu, du sang et des tripes en guise de décor, sans aucune subtilité ni concession (grosse musique électro-metal à l’appui), dans une vue à la première personne. Le tout, accompagné d’énormes flingues qui prennent le tiers de l’écran, pour mieux lutter efficacement contre l’invasion… des démons !
Demons welcome
Dans cet enfer littéral qui a lieu sur Terre, et dont vous incarnez l’invincible « nettoyeur », un hologramme d’hôtesse d’accueil nous invite joyeusement à « rester calme« , à 05:05 de la vidéo promotionnelle du jeu : « vous remarquerez un léger changement dans l’environnement. N’ayez crainte, tout était planifié« .
Puis elle ajoute, à 8:37 : « mes frères et sœurs, aidons nos amis à faire la transition dans leur nouveau monde de manière confortable. » Refugees welcome ?
« La Terre est le melting-pot de l’univers ! »
À 11:22, la bombe est lâchée : « souvenez-vous : ‘démon’ peut être un terme offensant. Appelez-les ‘mortellement défavorisés‘ ! » (« mortally challenged« ). Plus de doute possible, c’est une énorme pique anti-SJW. C’est drôle, et bordel, que c’est bon et trop rare pour ne pas être relevé !
L’hologramme semble ressasser tous les clichés réconciliateurs possibles, dans une gaieté absurde qui contraste violemment avec le chaos ambiant, comme à 12:47 : « la Terre est le melting-pot de l’univers ! »
On pourrait jurer que DOOM Eternal est une énorme métaphore poussée à l’extrême, dites donc ! Et ça s’y prête merveilleusement bien. Chapeau les développeurs, c’est couillu.
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