La bourgeoisie nantaise s’alimente en « marchandise » dans les quartiers dits « sensibles »
Bien entendu, on doit tenir compte du fait que la bourgeoisie nantaise s’alimente en « marchandise » dans les quartiers dits « sensibles » ; elle crée la demande qui nourrit l’offre. Plus il y a de clients, plus le trafic de drogue se développe – et inversement –, souligneraient les économistes. Pour assécher le marché, coincer les acheteurs qui viennent faire leurs « courses » serait d’une grande efficacité. Mais volonté politique et outils juridiques font évidemment défaut.
Les Bretons ne sont pas dans le coup !
La presse locale (Ouest-France et Presse Océan) et nationale (Le Figaro et Le Monde) ont beaucoup parlé des « évènements » de Nantes. Une observation s’impose : à aucun moment, pas une seule fois, on a mentionné que les différents acteurs sont des immigrés et que les fusillades concernent la population immigrée. Les Bretons ne sont pas dans le coup ! Cette façon de procéder relève évidemment du politiquement correct. Sur le plan professionnel, cela ressemble à un refus d’appeler un chat un chat. On a affaire à une information partielle, biaisée, ayant pour objectif de dissimuler le réel. Cette technique rédactionnelle est peut-être enseignée désormais dans les écoles de journalisme !
Extrait de Breizh Info
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