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🇫🇷 Drogue : les bobos nantais sont les meilleurs clients

La bourgeoisie nantaise s’alimente en « marchandise Â» dans les quartiers dits « sensibles Â»

Bien entendu, on doit tenir compte du fait que la bourgeoisie nantaise s’alimente en « marchandise Â» dans les quartiers dits « sensibles Â» ; elle crĂ©e la demande qui nourrit l’offre. Plus il y a de clients, plus le trafic de drogue se dĂ©veloppe – et inversement –, souligneraient les Ă©conomistes. Pour assĂ©cher le marchĂ©, coincer les acheteurs qui viennent faire leurs « courses Â»Â  serait d’une grande efficacitĂ©. Mais volontĂ© politique et outils juridiques font Ă©videmment dĂ©faut.

Les Bretons ne sont pas dans le coup !

La presse locale (Ouest-France et Presse OcĂ©an) et nationale (Le Figaro et Le Monde) ont beaucoup parlĂ© des « Ă©vènements Â» de Nantes. Une observation s’impose : Ă  aucun moment, pas une seule fois, on a mentionnĂ© que les diffĂ©rents acteurs sont des immigrĂ©s et que les fusillades concernent la population immigrĂ©e. Les Bretons ne sont pas dans le coup ! Cette façon de procĂ©der relève Ă©videmment du politiquement correct. Sur le plan professionnel, cela ressemble Ă  un refus d’appeler un chat un chat. On a affaire Ă  une information partielle, biaisĂ©e, ayant pour objectif de dissimuler le rĂ©el. Cette technique rĂ©dactionnelle est peut-ĂŞtre enseignĂ©e dĂ©sormais dans les Ă©coles de journalisme !

Extrait de Breizh Info


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