« Que cela plaise ou non aux partisans de l’immigration sans limites, il faut d’abord rappeler que ce que vous appelez un «blocus» et qui est en fait le droit élémentaire pour un pays souverain de contrôler sa frontière et de dire qui entre et qui n’entre pas, cela marche: le nombre d’immigrés clandestins arrivés en Italie par la mer a chuté de 80 % entre 2017 et 2018, passant de 120 000 à 23 000 personnes. Ce résultat n’est pas imputable qu’à Matteo Salvini, il l’est aussi au gouvernement de Paolo Gentiloni, issu du Parti démocrate, qui avait signé en février 2017 un mémorandum d’entente avec la Libye. »
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