La côte sud dorée et ensoleillée de l’Espagne est une attraction touristique énorme, mais c’est aussi l’un des principaux ports d’entrée pour l’immigration clandestine dans le pays et en Europe.
Il y a tellement de cas de violence des immigrés dans ces régions qui passent presque inaperçus – c’est compréhensible, car le tourisme est l’une des plus grandes industries d’Espagne.
Le 16 avril à Alicante, un Algérien a rencontré une femme dans une discothèque et a insisté pour qu’elle rentre à la maison avec lui. Une fois dans son appartement, trois autres hommes sont apparus dans une pièce adjacente et tous les quatre l’ont violée. L’un d’eux l’a alors conduite à son domicile, où elle s’est enfuie au magasin ouvert le plus proche et a appelé la police. Quelques heures plus tard, les quatre suspects ont été appréhendés.
Un jour plus tard, à Algésiras, en Andalousie, qui est dirigée par le PSOE, un important port d’entrée de Tanger au Maroc, une vieille dame a été violemment battue et volée alors qu’elle rentrait chez elle la nuit. Dans une ville qui est presque un quart musulmane, c’est une occurrence commune là.
Des cas comme ceux-ci passent inaperçus ou ne sont pas rapportés, comme un viol horrible l’année dernière à Gandía, près de Valence, qui a à peine attiré l’attention des médias nationaux, où deux Pakistanais, deux Cubains et deux Algériens ont violé une jeune femme pendant que d’autres regardaient sans rien faire. Et il y a tout juste un mois, 10 Algériens ont été arrêtés pour avoir violé 3 filles – l’une n’avait que 14 ans – pendant 24 heures.
L’importation massive en Europe d’une grande partie des jeunes immigrés masculins, qui perturbe l’équilibre entre les sexes dans la population des pays d’accueil, est une recette pour certains désastres.
L’Allemagne, la Suède, la France et le Royaume-Uni l’ont déjà découvert. Les problèmes de l’Espagne ne font que commencer.
Source : Voice of Europe
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