La mairie d’Athis-Mons, dans l’Essonne, avait Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă scolariser 28 rĂ©fugiĂ©s majoritairement syriens d’ici Ă fin mars sur ordre de la justice, d’après BFMTV.
Dans une lettre Ă ses administrĂ©s. La maire Christine Rodier a refusĂ© d’inscrire ces Ă©lèves en invoquant l’impossibilité « de procĂ©der Ă ces scolarisations dans des conditions acceptables ».
Le tribunal administratif de Versailles avait donnĂ© mi-mars 15 jours Ă la ville pour procĂ©der Ă l’inscription dans ses Ă©coles de 28 enfants, pour la plupart syriens, dont les familles occupent illĂ©galement et en toute impunitĂ© d’anciens pavillons de l’aviation civile Ă Athis-Mons.
« La scolarisation de la quasi-totalitĂ© de ces enfants relève avant tout de l’apprentissage de la langue française et de l’alphabĂ©tisation » et « nĂ©cessite un accompagnement spĂ©cialisé » , justifie Christine Rodier.
Quelques 200 personnes, dont une majoritĂ© de Syriens, squattent depuis plusieurs annĂ©es ces logements abandonnĂ©s situĂ©s Ă cĂ´tĂ© de l’aĂ©roport d’Orly.
Cette femme est un exemple : en invoquant un manque de moyen, elle protège nos enfants de migrants clandestins qui se prĂ©tendent « mineurs », mais la rĂ©alitĂ© est toute autre…
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