Lorsque vous évoquez la censure sur les médias sociaux, la discussion est différente : il n’y a personne en face de vous pour discuter. Facebook vous bloque 30 jours pour des motifs obscurs, Twitter ferme votre compte. Fin de la discussion.
Lequel est pire ?
« Les médias sociaux », dit Brent Bozell, le directeur de Media Research Center.
« Censurer est pire que biaiser. Avec les médias, les conservateurs ont toujours eu un problème d’informations biaisées. Mais là, c’est différent. Jamais dans l’histoire avons-nous connu la menace d’une censure à l’échelle du monde entier. Mais ce sont des plateformes mondiales.
Regardons les choses en face. Les médias sociaux sont maintenant utilisés par des milliards de personnes dans le monde entier. On peut légitimement penser qu’ils sont le mode de conversation du futur. Alors, imaginez la situation si les conservateurs sont interdits de ces conservations ».
Lors de sa récente audition devant une commission du Sénat américain, Mark Zuckerberg, le président de Facebook, a reconnu que la Silicon Valley est pire qu’à gauche, c’est un « endroit qui penche vers l’extrême gauche ». Puis il a reconnu que le biais reproché à Facebook, qui censure les médias de droite et certaines pages est une réalité.
C’est une grosse différence par rapport aux journalistes qui les yeux dans les yeux vous jurent sur la tête de leurs parents qu’ils rapportent les informations en toute neutralité, mais cela ne règle rien.
Il est assez facile de déceler les mensonges et les « oublis » des médias, tandis qu’il est impossible de localiser la censure chez Facebook.
- Si les articles de certains médias ne sont pas affichés sur les pages des utilisateurs, ceux-ci ne savent pas qu’ils subissent une censure. Ainsi Dreuz a constaté que Facebook supprime environ 30% de nos articles des pages des utilisateurs.
- Prager University a vu ses vidéos les plus populaires suspendues de YouTube, et d’autres ont été démonétisées sans motif.
- Breitbart News a constaté que le nombre de visites sur son site, depuis Facebook, a baissé de 35%.
- Sur certaines recherches Google, les sites internet conservateurs n’apparaissent plus à la première page.
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