13 avril 2017, Pakistan : lynchage de l’étudiant en journalisme Mashal Khan par ses camarades étudiants pour avoir posté des éléments « blasphématoires » sur Facebook : attention, vidéo pouvant mener à faire des amalgames
Facebook a signalé son intention d’aider le Pakistan à identifier les criminels de la pensée alors qu’un blogueur peut se fait exécuter pour avoir commis le « crime » de blasphème contre l’islam.
Le géant des réseaux sociaux va travailler avec le gouvernement pakistanais pour bloquer les contenus « blasphématoires » et a « déjà retiré 85% du contenu anti-islamique du Pakistan les dernières semaines » , d’après les rapports.
La peine encourue pour le « blasphème » (critiquer la religion islamique) au Pakistan est la mort.
[…] La révélation est particulièrement dérangeante quand on sait qu’un blogueur pakistanais connu sous le pseudonyme de Ayaz Nizami a été récemment arrêté et encoure la peine de mort pour « blasphème ».
Le crime de Nizami a été de quitter la religion musulmane, critiquer ses origines et enseignements, et d’avoir formé une organisation athée.
[…] Pire encore, le hashtag #HangAyazNizami (#PendonsAyazNizami ) sous lequel les islamistes appelaient à son assassinat ou à son exécution par l’Etat, a été laissé en tendance (hashtag viral du moment) sur Twitter il y a quelques jours.
Facebook, une compagnie supposément « progressiste » de la Silicon Vally, est en train d’aider le gouvernement du Pakistan à imposer la charia en identifiant et en censurant des gens qui ensuite encourent la peine de mort à cause de leurs mots. Cela montre bien que la réputation de tolérance libérale du réseau social géant ne repose sur rien.
Lire l’article en entier sur Infowars
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