Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte après ce décès survenu le 14 février, a précisé le ministère public. Elle vise à déterminer s’il s’agit d’une tentative de suicide ou si le feu est accidentel
.
Les agents de la pénitentiaire ont découvert le détenu allongé au sol
 et tenté de pratiquer les premiers secours mais le corps étant grièvement brûlé, le massage cardiaque n’a pas pu être effectué
, a déclaré la direction interrégionale des services pénitentiaires (DISP) à l’AFP.
Puis lorsque les pompiers parviennent au premier étage du bâtiment de la maison d’arrêt pour hommes, la victime en arrêt cardio-respiratoire avait été extraite de la cellule et le feu partiellement éteint par les personnels de l’administration pénitentiaire, notent-ils.
L’homme était incarcéré depuis avril 2020 pour tentative de meurtre, selon le parquet.
Un temps d’intervention jugé « trop long » par ses proches
Contactés par l’AFP, les proches du défunt fustigent un délai d’intervention tellement long qu’(il) est retrouvé complètement cramé
.
Le temps d’aller chercher le matériel ignifugé – les portes en métal étant brûlantes -, de s’équiper, etc., je comprends que la famille trouve le temps d’intervention long
, a reconnu une source proche du dossier auprès de l’AFP. (…)
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