Note de SUAVELOS : aux yeux d’un algérien plein d’aigreur et de ressentiment, un Juif et un Blanc européen, c’est exactement la même chose.
Ils nous méprisent autant qu’ils méprisent les juifs, ni plus ni moins. La violence verbale qui augmente envers eux en banlieue, s’exprimera par des actes de violence sur les blancs aussi. Parce qu’on le répète, pour un authentique musulman, un non-musulman est un ennemi. Que ce dernier soit chrétiens, juifs ou shintoïste.
Article trouvée sur le site Civil War in Europe :
Insultes, menaces et même violences… Certaines familles juives, principalement franciliennes, choisissent de quitter leur quartier pour vivre dans des secteurs où elles se sentent davantage en sécurité.
« Mais qu’est-ce qu’on a fait pour devoir fuir et vivre cachés comme des malfrats? » Cela fait maintenant cinq mois que Sophie, Laurent et leurs trois enfants ont dû quitter, en catastrophe, leur pavillon de Romainville, en Seine-Saint-Denis. Après s’être fait cambrioler en mars, cette famille retrouve un matin de mai sa voiture pneus crevés, taguée au tournevis en grosses lettres: «Juif», «Israël», et une étoile de David…
«Ça fait trop, ils vous ont repérés, partez!», leur conseille la police [LOL, c’est pas censé protéger, la Police ?]. Agressions, vandalisme, menaces, injures, ce sont des dizaines d’actes antisémites que le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) recense chaque année (et ça ne vient pas de l’extrême droite). Certes, leur nombre a baissé en 2016, selon les statistiques officielles. Mais dans certaines banlieues, cet «antisémitisme étouffé», regrette le BNVCA, est tellement prégnant qu’il pousse de nombreux juifs à déménager. Pas forcément pour Israël, mais en une sorte d’«alya intérieure», pour d’autres communes plus tranquilles.
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