Un rapport récent du Comité consultatif sur les migrations a notamment confirmé le fait que les salaires des plus pauvres ont diminué, tout en augmentant les prix des logements.
Selon le rapport, « il y a des preuves que la migration a réduit l’augmentation des plus bas salaires et l’a augmentée pour les salariés les mieux payés ».
D’autres éléments de preuve dans le rapport suggèrent que les migrations de masse réduisent l’emploi et augmentent le chômage de certains groupes (par exemple les jeunes et les moins instruits).
Le rapport poursuit en abordant les problèmes de logement, déclarant que, en tant que simple conséquence économique de la demande accrue, «il existe des preuves que la migration a augmenté les prix des logements. Cet impact est plus important dans les zones où les politiques de planification sont plus restrictives, où il est plus difficile pour le parc immobilier d’augmenter en fonction de la demande. »
Selon le rapport, le logement social a également été affecté par les migrations. «La part des nouveaux locataires allant aux migrants originaires des NEM (nouveaux États membres) en particulier augmente.
Étant donné que peu de logements sociaux sont construits, cela se fait inévitablement au détriment d’autres locataires potentiels », indique le rapport, qui continue en avertissant que si l’offre de logements n’augmentait pas en fonction de la demande, cela pourrait« réduire l’accès aux services sociaux ». logement pour les personnes nées au Royaume-Uni ». (…)
Sur la base de ses conclusions, « il n’ya aucune garantie que la migration profite à la population résidente. »
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