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Hospitalisée suite aux attentats du 13 novembre, les psychiatres me demandent de me réconcilier avec l’islam (17)

CHRONIQUES QUOTIDIENNES DE L’ISLAMISATION N°17 (sur resistancerepublicaine.eu)

Le 13 novembre 2015, j’ai été confrontée à une personne décédée à proximité du Bataclan et à des scènes de chaos sur les trottoirs avec les cris des blessés et des mares de sang. Les jours qui ont suivi, les témoins de ces évènements ont été pris en charge par les services d’urgence et orientés vers des associations de victimes. C’est ainsi que je me suis retrouvée dans un groupe de parole au sein d’une association de victimes mais les échanges ne pouvaient porter sur l’islam, la psychologue en charge d’animer ces discussions étant de confession musulmane.

Au lendemain des attentats, les personnes présentes sur les lieux du drame peuvent avoir le sentiment de maîtriser la situation et d’avoir la force de passer à autre chose. Mais comme le confirme ce psychiatre, les symptômes post-traumatiques peuvent resurgir ultérieurement après une période de latence et d’accalmie :

C’est ce phénomène de retardement que j’ai vécu personnellement avec une réapparition ultérieure du traumatisme quelques mois après le 13 novembre 2015, mon état nécessitant une hospitalisation aux côtés d’autres victimes de ces évènements. Hospitalisée dans une unité de soins spécialisés, j’ai été suivie par plusieurs psychiatres pendant mon séjour à l’hôpital. D’une grande compétence, ces médecins nous ont apporté écoute et réconfort pendant ce temps de convalescence. Toutefois, sur la question de l’islam, l’omerta reste importante dans le milieu hospitalier, le personnel étant soumis à une obligation de neutralité vis-à-vis des patients. Confrontée à des moments d’angoisse avec la prégnance des images des attentats, j’ai tout de même fait part aux psychiatres de mon rejet de l’islam depuis ces évènements, la signature islamique étant une évidence dans ces attaques sanglantes. C’est alors que l’équipe médicale est venue me voir quotidiennement pour s’assurer que ma phobie sur l’islam disparaissait progressivement, en me conseillant de me réconcilier avec la communauté musulmane au nom du vivre ensemble et du respect de l’autre. Comment guérir, physiquement et psychologiquement, s’il est interdit de désigner l’ennemi qui vous a meurtri, comment honorer la mémoire des personnes décédées s’il est interdit d’identifier le mal qui est à la source de cette barbarie ?

Même au sein des établissements hospitaliers français, la propagande du « politiquement correct » reste de mise et il est impossible de dénoncer l’idéologie qui a frappé tant de victimes dans les attentats. Ma position anti-islam a même été inscrite dans mon dossier médical personnel, des données qui pourraient un jour ne pas rester confidentielles et être transmises aux autorités françaises…

Source :  resistancerepublicaine.eu


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