A la demande de nationalistes hindous, la guilde indienne des producteurs de cinéma s’est en effet engagée samedi à ne plus faire travailler d’acteurs pakistanais.
« Dans l’intérêt général, compte tenu du sentiment des habitants et des soldats du pays tout entier, nous ne travaillerons plus à l’avenir avec des acteurs pakistanais », a déclaré à la presse le président de la guilde, Mukesh Bhatt.
Des menaces contre le film d’un célèbre réalisateur
L’accord a été conclu lors d’une rencontre entre Karan Johar, un réalisateur indien de premier plan, Raj Thackeray, leader du parti d’extrême droite Maharashtra Navnirman Sena et des représentants de la guilde, sous l’égide du premier ministre de l’Etat de Maharashtra, Devendra Fadnavis.
En contrepartie, Ae Dil Hai Mushkil, un film de Bollywood de Karan Johar dans lequel figure le Pakistanais Fawad Khan, pourra toutefois sortir comme prévu le week-end prochain.
La violence montée d’un cran depuis le mois dernier
Les nationalistes hindous avaient en effet menacé d’attaquer les cinémas qui diffuseraient ce long-métrage. Mais suite à cet accord, Raj Thackeray a expliqué que les appels à la violence visant le film avaient été suspendus. De son côté, Karan Johar a également accepté de verser 50 millions de roupies (685.000 euros) à l’armée indienne comme « pénitence ».
Les tensions entre les deux Etats rivaux sont montées d’un cran depuis une attaque meurtrière lancée le mois dernier contre une base militaire indienne, dont la responsabilité est attribuée par l’Inde à des extrémistes pakistanais.
Des menaces contre le film d’un célèbre réalisateur
L’accord a été conclu lors d’une rencontre entre Karan Johar, un réalisateur indien de premier plan, Raj Thackeray, leader du parti d’extrême droite Maharashtra Navnirman Sena et des représentants de la guilde, sous l’égide du premier ministre de l’Etat de Maharashtra, Devendra Fadnavis.
En contrepartie, Ae Dil Hai Mushkil, un film de Bollywood de Karan Johar dans lequel figure le Pakistanais Fawad Khan, pourra toutefois sortir comme prévu le week-end prochain.
La violence montée d’un cran depuis le mois dernier
Les nationalistes hindous avaient en effet menacé d’attaquer les cinémas qui diffuseraient ce long-métrage. Mais suite à cet accord, Raj Thackeray a expliqué que les appels à la violence visant le film avaient été suspendus. De son côté, Karan Johar a également accepté de verser 50 millions de roupies (685.000 euros) à l’armée indienne comme « pénitence ».
Les tensions entre les deux Etats rivaux sont montées d’un cran depuis une attaque meurtrière lancée le mois dernier contre une base militaire indienne, dont la responsabilité est attribuée par l’Inde à des extrémistes pakistanais.
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