« Des militaires dans les trains ? Il faut faire quelque chose, nous ne pouvons pas continuer de cette manière « . Le prĂ©sident de la rĂ©gion, Attilio Fontana, n’a pas exclu l’utilisation de cette solution après l’agression qui s’est produite Ă bord.
Dimanche après-midi, sur la ligne Milan-Lecco, un policier a Ă©tĂ© frappĂ© par un groupe de dix NigĂ©rians après ĂŞtre intervenu pour aider le contrĂ´leur qui se trouvait en difficultĂ© alors qu’il contrĂ´lait le billet de l’un des jeunes Ă©trangers.
Le nouvel Ă©pisode a encore une fois mis en Ă©vidence le manque de sĂ©curitĂ© des travailleurs des chemins de fer et des voyageurs, un problème dont les routes de Bergame ne sont pas Ă l’abri.
InterrogĂ© Ă ce sujet, le prĂ©sident de la RĂ©gion a rĂ©itĂ©rĂ©: « Nous Ă©valuons la proposition de mettre l’armĂ©e dans les trains. La situation est dangereuse pour les citoyens, pour les voyageurs, pour les contrĂ´leurs et en gĂ©nĂ©ral pour ceux qui travaillent dans ce secteur. »
« Nous sommes des réfugiés, vous ne pouvez rien faire. »
C’est en effet ce qu’auraient dĂ©clarĂ© les NigĂ©riens selon la reconstitution des tĂ©moins et du policier. Une phrase emblĂ©matique qui souligne le sentiment d’impunitĂ©Â dont pensent bĂ©nĂ©ficier les rĂ©fugiĂ©s accueillis en Italie. (…)
Source 1Â Source 2Â traduction lesobservateurs.ch
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