Leurs identités ont été confirmées par Arsalan Motavali, un étudiant d’Exeter et membre de la Bracton Law Society, qui était aussi dans le chat de groupe et a posté les screenshots des messages sur Facebook la nuit dernière, dans le but de détruire la vie des « racistes ».
Il s’est ensuite plaint que Facebook censure son incitation à détruire la vie des 5 étudiants : « Mon post n’incite pas à la haine, il relate des faits. Facebook pense que c’est nécessaire de supprimer un post avec autant de soutien et d’engagement ? C’est juste de faire ça ? »
My post did not incite hate, it stated facts, @facebook think it’s necessary to delete a post with so much support and following? How is this right? pic.twitter.com/G0IuVIwBlB
— a~m (@arsaIanm) 20 mars 2018
Parader avec les belles et brillantes femmes blanches tout en détruisant les vies de ses rivaux en majorité blancs, au nom de l’ « antiracisme », et se faire relayer par de nombreux journaux qui vont mettre les photos et les noms complets des étudiants pendant toute leur vie. Pour le blanc, ou pour le racisé non-censeur, il n’y a aucune « erreur de jeunesse » possible. C’est tout de suite le pilori au moindre dérapage raciste même dans un groupe de messagerie privée, et pendant toute sa vie l’humiliation publique totale.
Pendant que certains font croire que les « Social Justice Warriors » sont uniquement des blancs voire des blanches, les petits kapos racisés ont la possibilité de recouvrir de merde à vie le nom et la carrière d’une personne. Ils sont de plus en plus nombreux dans tous les milieux, et la chasse aux sorcières continuera tant qu’il restera un seul blanc pas complètement soumis, même en privé.
L’étape prochaine ? Sonder le cerveau du blanc pour vérifier qu’il ne pense pas, au fond de lui-même, quelque-chose de raciste.
L’antiracisme est un totalitarisme qui ne cessera jamais d’enfler jusqu’au dernier blanc. Il est temps pour beaucoup de le comprendre.
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