« Pendons les blancs »
Extrait des paroles :
Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents,
Écartelez-les pour passer le temps.
Divertir les enfants noirs, de tous ages, petits et grands,
Fouettez les fort, faites le franchement
Que ça pue la mort que ça pisse le sang
Pendus aux arbres dans le vide sidéral
Que ces fruits immondes procurent un spectacle fascinant
Blafards et marrants
Ôtez leur toute vie, qu’ils soient des objets sans vie dès à présent
Possédez les, mettez vos noms sur leurs testaments
Refrain: « Pendez les, Pendez-les tous, pendez les blancs ».
Pas de sentiments, qu’ils meurent tous en même temps
Donnez l’exemple, torturez devant le groupe
Ceux qui sont trop récalcitrants
Pour sûr, on tient là un de ces fameux Victor Hugo qui se cachent parmi les migrants entre les astrophysiciens et les chercheurs en physique quantique !
Le rappeur anti-blanc est soutenu à mi-mot par un Dieudonné complaisant et excité, mais qui rappelle d’être plus un peu plus discret dans leur haine :
C’est marrant. Nick Conrad veut tuer tous les blancs.
Mais il a passé toute sa jeunesse dans 1 hôpital parisien soigné par des blancs pour sa guérir sa maladie africaine, la drépanocytose. C’est lui qui le dit. Sinon son père est aussi diplomate.#PendezLesBlancs #NickConrad pic.twitter.com/mkgwCMxI13— Olivier Marteau (@MarteauOlivier) 26 septembre 2018
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