Petite réponse à l’interview aussi anti-blanche et repentante que le pape François, publiée par Causeur. Extraits choisis des réponses de Julien Wosnitza en bleu :
« Je ne veux plus m’égarer à essayer de convaincre quelqu’un que, pour le bien-être de la planète, il faudrait arrêter de manger de la viande et du poisson. »
Essaye donc de convaincre les noirs et les arabes d’arrêter de manger de la viande et du poisson, on en reparle.
« La mouvance raciste ou protectionniste que l’on connait en Europe, avec des slogans tels que « les Français d’abord », ou « On ne peut pas accueillir toute la misère du monde » est la preuve d’une ignorance terrible. Les nationalistes n’en ont souvent rien à faire des problématiques environnementales causées par nos pays riches qui sont à l’origine de la plupart des flux migratoires actuels et qui vont irréversiblement augmenter dans les années à venir pour ces mêmes raisons. Ces nationalistes ne tiendront pas le même discours quand ils devront migrer au nord parce qu’à Paris on va avoir le climat de Tanger et qu’on n’aura plus les capacités de vivre dans des conditions décentes avec autant de monde en France. «
Quand « Paris aura le climat de Tanger », on aura des clims qui fonctionnent, contrairement aux Africains.
« Les Occidentaux sont un fléau, des cancers pour ce monde, et je m’inclus dedans. Le problème, c’est que nous serons les derniers à pâtir de ce que nous avons fait. Deux exemples au hasard pour l’illustrer : les Tibétains ou les Bangladais. Quand les glaciers de l’Himalaya auront fondu en été et que le Gange sera à sec pendant cette période, ces populations, qui ne sont pas les plus gros pollueurs, vont prendre le retour de bâton en premier. »
Ils ne sont pas les plus gros pollueurs mais ils sont voisins ou sous domination du plus gros pollueur de la planète : la Chine.
« La première expédition partira le 3 octobre pour les Caraïbes, aux îles Caïmans. L’année prochaine, nous allons commencer à dépolluer au large du Honduras où il y a une grosse mare de plastique de sept kilomètres de large. »
J’ai raté un épisode, ce sont les Occidentaux qui polluent, mais nos ordures se retrouvent jusque chez les latinos et pas sur nos côtes ? C’est fou comme les courants sont racistes, ma parole.
Quoi qu’il en soit, ce que je trouve intéressant avec cette annonce du livre « Pourquoi tout va s’effondrer » par Julien Wosnitza, c’est que la réalité est tellement devenue raciste que les gauchistes se réfugient dans la fiction pour y trouver un exutoire, où les méchants racistes réalisent qu’ils avaient tort depuis le début, mais que c’est trop tard. Quand la gauche des années 70 rayonnait, c’était le racisme qui devait s’en tenir à la fiction, avec Le Camp des saints de Jean Raspail. Petit à petit, le racisme devient la réalité, et c’est l’antiracisme gauchiste qui repart dans la fiction.
« Puisque nous n’avons pas eu raison, eh bien, eh bien, vous le regretterez car il y aura un effondrement, et tout ça sera de votre faute ! Parce que vous n’êtes pas vegan, parce que vous n’avez pas accueilli un migrant africain chez vous ! »
Fascinant.
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