Laxisme gauchiste. L’émotion était toujours forte vendredi matin à Rodez, au lendemain de l’assassinat du chef de la police municipale, poignardé en pleine rue par un homme mécontent qu’on lui ait, quelques jours plus tôt, retiré son chien.
On savait que l’homme, d’origine belge, n’avait pas le droit de posséder ce chien, de catégorie A, parce qu’il avait au casier judiciaire plusieurs condamnations pour violences.
Interpellé 42 fois
Ce que l’on apprend de plus ce vendredi, c’est que l’agresseur avait été interpellé… 42 fois pour des faits de violence. Parmi ces interventions de la police, des faits de violence à l’encontre de son propre chien, dont la placement à la SPA était pourtant, semble-t-il, le mobile de l’assassinat de Pascal Filoé.
L’homme, réputé violent, avait menacé à plusieurs reprises le maire de Rodez Christian Teyssèdre et proféré des menaces de mort à l’encontre de fonctionnaires de la ville. D’après la mairie de Rodez, il a tendu jeudi matin un guet-apens à Pascal Filoé : alors que celui-ci quittait la mairie pour se rendre à une réunion, l’homme, qui l’attendait dans une ruelle, lui a sauté dessus.
Il se vante pendant sa garde à vue
Il a alors été frappé à coups de couteau, à 9 reprises et non 3 comme l’avait indiqué dans un premier temps les enquêteurs. Pire : placé en garde à vue, le suspect se serait, selon une source proche de l’enquête, vanté d’avoir tué sa victime.
Source : France 3
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