Les faits
Le terroriste musulman a délibérément pris deux policières « en filature » avant de les attaquer à coups de cutter dans le dos. Profitant de leurs blessures, il s’est saisi de l’arme d’une d’entre elles et les a achevées. Il a ensuite rapidement abattu une homm de 22 ans dans un véhicule un peu plus loin. Il a crié « Allahu akbar ».
L’assaillant s’est ensuite dirigé vers l’établissement scolaire où il a pris une femme de ménage en otage. A l’arrivée des policiers il a « tenté une sortie » en ouvrant le feu sur les forces de l’ordre, blessant plusieurs hommes aux jambes. Il a été abattu, le corps criblé d’une vingtaines de balles.
Deux policiers du Peloton anti-banditisme de Liège ont été blessés lors de l’intervention qui a neutralisé le tireur.
Attention aux âmes sensible :
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Que faut-il en penser ?
L’islam est une idéologie d’esclavage et de profonde haine de la femme. Voir des femmes représenter l’autorité rend malades ceux qui veulent les voir sous les fers.
Il est honteux que les soraliens plus ou moins recyclés prennent ce drame comme excuse pour virer les femmes de la police. C’est exactement ce que veulent les islamistes quand ils commettent des actes terroristes : qu’on change et adapte la société à leur charia.
Face à la mort de deux policières tuées par un musulman, tout Européen normal peut réclamer l’expulsion de la communauté des attentats ou l’interdiction de l’islam, mais sûrement pas l’interdiction aux femmes de rentrer dans la police.
Rappelons comment le sacrifice d’Aurélie Chatelain le 19 avril 2015 à Villejuif a permis de déjouer un attentat par le terroriste de l’Etat islamique Sid Ahmed Ghlam. Elle est morte en luttant sans arme contre le djihadiste qui tentait de voler son véhicule, suite à quoi il a dû recourir au SAMU et a fini en prison. Il projetait de commettre un massacre sur 300 personnes en pleine messe, armé d’une kalachnikov et d’un revolver. Si des femmes sauvent des vies sans uniforme, sans formation ni armes, comment peut-on penser qu’elles devraient être écartées des forces de l’ordre ?
Autre-chose : si les terroristes ont peur du corps-à-corps avec des hommes, il leur suffit de leur foncer dessus en voiture, comme ce fut le cas avec ce terroriste est-africain qui a foncé sur un militaire en plein Londres avant de l’achever au couteau. Ça change quoi, le sexe de la victime quand on te fonce dessus en voiture avant de te massacrer au couteau ?
Que faut-il faire ?
Si on arrêtait de pénaliser les tirs de riposte de nos policiers, le poids et le sexe n’auraient aucune sorte d’importance. Que l’on fasse 50 ou 90 kg, on ne doit jamais aller au contact avec un criminel de 90 kg potentiellement armé d’un couteau. Il y a des réactions plus adaptées face à des individus menaçants, comme cette Brésilienne dans une vidéo.
Chaque année, les armes à feu permettent à 200 000 Américaines d’éviter le viol. Si les sélections et les entraînements de la police sont correctement adaptés à la réalité du terrain, et si la justice cesse de surprotéger les criminels, il n’y aurait aucun problème avec la présence de femmes.
L’arme à feu n’est pas non plus la solution miracle. Elle ne protège pas d’une attaque vicieuse dans le dos, et toutes les forces de l’ordre en patrouille sont concernées par cette autre réalité. La distance minimale de sécurité face à un agresseur armé d’un couteau est de 7 mètres. Si vous l’apercevez en-dessous de ce seuil, vous serez touché.
La règle des 7 mètres doit faire prendre conscience que la fumisterie des ripostes avec des armes non-létales est criminelle, mettant en danger les forces de l’ordre comme dans cet article de Stop Hoplophobie.
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