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Linda Sarsour, l’islamiste palestinienne anti-Trump déguisée en féministe, aurait menacé une victime d’abus sexuels

« Un bon musulman ne peut pas agresser sexuellement » et « Les femmes laides ne peuvent pas être agressées sexuellement » : deux allégations défendues par la palestinienne anti-Trump Linda Sarsour qui se faisait passer pour une « combattante des droits des femmes ».

Linda Sarsour, qui a organisé la «guerre des femmes» contre Trump à Washington, est maintenant accusée d’avoir tenté de balayer les abus sexuels sous le tapis. Une femme a dit que Sarsour l’a menacée quand elle a parlé d’abus dans une société arabe, écrit Breitbart.

Linda Sarsour, qui vient d’une famille palestinienne, a reçu une grande attention dans les médias américains pour son travail présumé en faveur des droits des femmes et pour les musulmans.

Entre autres, elle a été l’une des principales organisatrices de la «guerre des femmes» qui a eu lieu après l’assermentation de Donald Trump lorsque des féministes vêtues de chapeaux roses représentant des organes génitaux féminins ont défilé dans les rues de Washington.

Mais maintenant, une femme, Asmi Fathelbab, déclare que Sarsour a voulu étouffer l’agression sexuelle qu’elle a subie lorsqu’elle faisait partie de l’organisation de l’Association arabo-américaine à New York.

Fathelbab affirme pour le Daily Caller qu’en 2009, elle a été agressée physiquement et soumise à des fantaisies par un homme travaillant pour l’organisation.

Linda Sarsour, qui était à la tête de l’Association arabo-américaine, aurait complètement rejeté les allégations.

« Elle s’est moqué de moi parce que j’étais trop laide pour que ça m’arrive d’après elle », a déclaré la femme au Daily Caller.

Asmi Fathelbab déclare que la direction a estimé que l’homme qui l’a agressée était «un bon musulman» qui était «toujours à la mosquée» et qu’il ne pouvait donc pas se comporter de la sorte.

Sarsour aurait également menacé Fathelbab de ne plus jamais retrouver un emploi à New York si elle publiait les accusations, selon Daily Caller.

« Les femmes qui placent Sarsour sur un piédestal méritent de savoir comment elle nous traite vraiment », dit Asmi Fathelbab à Daily Caller.

Source : Friatider.se


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