Interrogé sur la manière dont il explique « l’hostilité sans précédent » à son égard de l’établissement catholique en Italie, il a répondu : « Honnêtement, je ne peux pas l’expliquer », a déclaré M. Salvini. « Tant de virulence me laisse vraiment perplexe. »
Il a ajouté: « Ce qui est magnifique, c’est qu’après la couverture de Famiglia Cristiana et les attaques d’Avvenire, j’ai reçu un flot de lettres d’hommes et de femmes de l’Église qui incluaient leurs noms, prénoms et adresses comme je l’ai été. « Bien que quelques-uns le suppliaient de préserver leur confidentialité pour éviter les problèmes.
« J’ai même reçu des lettres de prêtres et d’évêques », a-t-il dit. « Cela m’a vraiment surpris. En politique, j’en ai l’habitude, mais dans un monde d’ouverture, de dialogue, de sobriété et de sa propre façon d’être, je ne m’attendais pas à un tel climat. »
En réponse aux menaces posées par l’islam radical, Matteo explique que « la défense de nos valeurs et de notre identité nécessite une réglementation de la présence islamique et des organisations islamiques en Italie ».
« Il est évident que l’interprétation fanatique du Coran est incompatible avec nos valeurs de liberté et avec les valeurs chrétiennes », a déclaré M. Salvini.
« Ici, il n’y a pas d’intention d’intégrer, de dialoguer », a-t-il déclaré. « Malheureusement, un certain type d’Islam se ghettoise et est incompatible avec notre société. Et cela m’étonne que certains membres de la hiérarchie catholique agissent comme s’ils ne comprenaient pas. »
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