Nathalie Haddadi est jugée ce mardi au Tribunal correctionnel de Paris pour avoir envoyé de l’argent à son fils parti en Syrie et décédé depuis. Elle risque jusqu’à dix ans de prison.
Mère d’un «martyr» mort en Syrie, Nathalie Haddadi comparaît ce mardi à partir de 13h30 au Tribunal correctionnel de Paris pour «financement du terrorisme». Âgée de 42 ans, cette Alsacienne est accusée d’avoir envoyé 2835 euros à son fils qui s’en est servi pour rejoindre la zone irako-syrienne. Sur le banc des accusés, elle est accompagnée de son fils cadet et d’un ami du djihadiste, ayant également envoyé de l’argent.
«J’ai perdu mon fils. Ce jour-là, c’est comme si on m’avait ouvert la poitrine à vif. Et je me retrouve devant ce tribunal. J’ai le sentiment d’être à terre et que l’on continue à s’acharner», confie Nathalie Haddadi au Parisien. Son fils, Abbes Bounaga, est décédé en août 2016 en Syrie. Il avait à peine 21 ans.
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«J’ai perdu mon fils. Ce jour-là, c’est comme si on m’avait ouvert la poitrine à vif. Et je me retrouve devant ce tribunal. J’ai le sentiment d’être à terre et que l’on continue à s’acharner», confie Nathalie Haddadi au Parisien. Son fils, Abbes Bounaga, est décédé en août 2016 en Syrie. Il avait à peine 21 ans.
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