Au terme d’à peine 2h15 de délibéré, la cour d’assises de Tarn-et-Garonne a condamné, ce mardi, Hatem Bakli, accusé du viol d’une personne vulnérable, à 9 ans de réclusion criminelle et à l’interdiction définitive du territoire national. Un verdict sonnant comme un coup de théâtre: les réquisitions de l’avocat général Laurent Czernik se portant à 14 ans.
L’absence de la victime au procès et les arguments très vifs des avocates de la défense assurant que ce sans-papiers Algérien de 40 ans, souffrirait d’une schizophrénie, ont visiblement fait mouche.
En savoir plus sur Notre Quotidien
Subscribe to get the latest posts sent to your email.