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#Montpellier Jeté au sol, le militaire reçoit 3 coups de couteau au ventre par des réfugiés albanais

Un militaire de l’opération Sentinelle -patrouilles dans le cadre de l’état d’urgence et du plan Vigipirate- en poste à Montpellier a été poignardé dans la nuit de lundi à mardi vers 2h30 sur le cours Gambetta, dans le secteur du Plan Cabanes.

Alors qu’il était en civil et hors service en compagnie d’un autre militaire de Sentinelle sur le trottoir du cours Gambetta, il a été pris à partie par un piéton faisant partie d’un groupe d’une quinzaine de réfugiés albanais qui l’aurait pris pour un policier en civil, lui reprochant de les surveiller…

Les deux militaires ont été coursés par les agresseurs. Avant qu’il ne puisse leur échapper, puis s’expliquer lorsqu’il a été rejoint, le militaire a été jeté à terre, tabassé, puis a reçu trois coups de couteau à l’abdomen. Son collègue qui tentait d’intervenir pour lui porter secours a été braqué par des individus du groupe en lui plaçant un couteau sous la gorge. Il a assisté impuissant à l’agression gratuite de son camarade.

Policiers municipaux encerclés

Les jeunes agresseurs ont alors quitté les lieux abandonnant le militaire blessé, qui est hors de danger fort heureusement et son camarade, impuissant, qui ont prévenu des passants, puis la police.

Vers 3h, la virée de cette quinzaine d’Albanais s’est prolongée sur la place de la Comédie, où après avoir menacé avec les couteaux des jeunes qui étaient tranquillement assis dans un coin, s’en sont pris à une trentaine de policiers municipaux, lesquels ont été encerclés.

Les policiers municipaux effectuaient des patrouilles dans l’Écusson, après avoir été informés par les policiers de la Sécurité publique de l’agression avec arme blanche sur les deux militaires de l’opération Sentinelle. Ils ont réussi à mettre en fuite le groupe qui a disparu dans les rues du centre-ville.

Lors de ces incidents sur la Comédie, il n’y a eu aucun blessé à déplorer. Ce mercredi soir, les policiers de la sûreté départementale de l’Hérault chargés de ces enquêtes n’avaient procédé à aucune interpellation. Le visionnage des bandes de vidéosurveillance de la Ville de Montpellier était en cours pour identifier certains protagonistes.

Source : e-metropolitain via Notre Quotidien


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