Le juge du tribunal administratif de Nantes saisi en référé par la présidence de l’Université hier lundi 4 décembre a rendu mardi 5 décembre, sa décision.
Il a ordonné l’expulsion des occupants des deux sites occupés depuis fin novembre en soutien aux jeunes migrants, le château du Tertre et le site de la Censive. Le tout sur fond de tensions de plus en plus dures entre militants d’extrême gauche pro immigration et opposants à l’invasion migratoire.
Sur la page facebook de Nantes Révolté, est apparu ce mardi 5 décembre un communiqué dénonçant « une agression fasciste » qui serait survenue dans la nuit de lundi à mardi, sur le campus de l’Université de Nantes.
Une attaque – suivie d’un vol de banderole – qui visait manifestement l’occupation illégale du château du Tertre où des migrants ont été installés par l’extrême gauche, puis toléré par la direction de l’Université qui veut désormais qu’ils partent, sans employer la force, et en offrant aux migrants 40 places d’hébergements dans des résidences universitaires auxquelles n’ont pas accès certains étudiants français.
Plus tard dans la journée, un communiqué d’un « Front Anti Collabo » a été adressé à la presse, revendiquant l’opération.
Voici le communiqué :
« Hier soir , à Nantes, au château du Tertre, dans le campus de la faculté, occupé illégalement par l’ultra-gauche, les collabos de l’invasion migratoire ont eu, à quelques jours de Noël , une simple mise en bouche de ce qui les attend s’ils continuent sur le chemin de la collaboration. Des fils et des filles de ce pays ont en effet décidé de les empêcher de nuire sur tout le territoire. Si les autorités ne protègent plus leur peuple face à une véritable invasion organisée et masquée sous le fard de l’humanitaire, les hommes et femmes du peuple s’en chargeront.
Nous avons pris leur bâche de débiles inféodés à la fois au cinéma américain et au marxisme (!) comme symbole de notre déclaration de guerre.
Aucune personne qui se livre à l’organisation ou la promotion de l’immigration ne sera plus en sécurité.
Signé le FAC. Front anti collabos. »
Pour le moment, l’Université – qui peut légalement le faire désormais – n’a pas ordonné l’expulsion, alors que des étudiants s’émeuvent également de cette occupation (voir vidéo ci-dessous) :
🔴 Etudiant, je dénonce ouvertement l’occupation par l’extrême gauche et les migrants des locaux de mon Université. Dénoncez, vous aussi, ces situations inadmissibles ! #Nantes #Immigration #Université #Migrants pic.twitter.com/du8PVdzcsv
— Clément ن (@lemorbihannais) 5 décembre 2017
La tension est à son comble, à Nantes.
Via Breizh info
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