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Comment le népotisme noir a ruiné le métro de Washington DC

Un texte de Ryan Landry
Publié pour la première fois en mai 2016 sur Social Matter
Traduction inédite de Charles Janson
 
Au cœur de l’empire mondialiste, sous les pieds même des députés, des fonctionnaires, et d’autres bureaucrates grassement payés pour imposer la volonté des maîtres du Système, leur politique a des effets négatifs. Une infrastructure essentielle, construite par le génie et la technologie des Blancs, empruntée par des millions de personnes chaque jour, est aujourd’hui en ruines après avoir été offerte au Big Other.
Le métro de Washington DC envisage de fermer des lignes entières pour plusieurs mois, voire un an. Plus fonctionnel qu’esthétique, ce réseau de transport souterrain a permis à plus d’un agent fédéral de se passer de sa voiture le matin comme le soir. Il est aujourd’hui dans un état grave. Pourquoi ? Cela tient à deux causes : le gauchisme et les noirs.
Le métro a été très mal maintenu. On sait que la maintenance est cruciale lorsqu’il s’agit de garder une machine en état de fonctionnement – et à plus forte raison une infrastructure urbaine. Cependant, et depuis longtemps, les employés du métro se sont contentés de faire des tournées d’inspection toutes visuelles et de cocher les bonnes cases sur leurs papiers plutôt que de mettre réellement les mains dans le cambouis.

Il y a aussi un problème d’argent. Plus le budget du transport souterrain a augmenté, plus le métro devenait vétuste, crasseux et mal entretenu. Où est passé l’argent ? Dans des salaires toujours plus élevés, des mutuelles de santé offertes, des privilèges. Et il n’y a pas que Washington DC. À Boston, la MBTA [Massachussetts Bay Transportation Authority, opérateur public-privé des transports de Boston, NDT] a vu son budget augmenter de 44% au cours des 8 dernières années. Le Boston Globe, un des rares journaux mainstream qui s’en soient fait l’écho, s’est félicité devant cette augmentation si « modérée ». Nous aussi, on aimerait une couverture média si complaisante ! D’autant que, si les compagnies privées ne cessent de licencier, de surcharger leurs salariés, de sous-traiter, dans une quête sans fin de réduction de coûts, aucun média officiel n’ose faire la moindre suggestion dans ce sens pour le secteur public.
Le ver est dans le fruit depuis longtemps, mais la « diversité » s’est jetée dessus avec un flair remarquable lorsqu’il s’agit de débusquer des magouilles et des sources de rente. On y vient. À l’ère du New Deal, les démocrates ont largement surfé sur les tendances syndicalistes, jusqu’à laisser entendre en période d’élections qu’ils autoriseraient peut-être les syndicats d’agents publics. Seulement, ils ne l’ont pas fait. La gauche est souvent moins cool qu’elle le laisse paraître… !
Une fois élu, le président Roosevelt a fait passer le National Labour Relations Act qui édictait des droits syndicaux pour les employés du privé, mais du privé uniquement : les agents publics restaient considérés comme ayant de trop grandes responsabilités pour faire bande à part. Roosevelt a explicitement condamné les syndicats de fonctionnaires :

Les agents publics ont pour fonction de maintenir le gouvernement en activité. Une grève de leur part manifeste rien moins qu’une intention d’empêcher ou d’obstruer la vie du gouvernement jusqu’à ce que leurs demandes soient satisfaites.


Tout a changé dans les années 1950. Gouverneurs et maires ont alors autorisé les fonctionnaires des États à se syndiquer. Leur emboîtant le pas, le président Kennedy a signé un ordre exécutif permettant aux agents publics fédéraux de créer leurs syndicats. Dans les années 60-70, Ronald Reagan, alors gouverneur de Californie – et aujourd’hui souvent présenté par le mainstream comme un « ultralibéral », chantre de la « dérégulation » –, laissait les agents publics de l’État se syndiquer. La Californie est aujourd’hui l’un des états les plus endettés d’Amérique du Nord, en bonne partie à cause des privilèges et des salaires dont jouit une armada de fonctionnaires intouchables.
Contribuant à une concentration accrue du pouvoir, les syndicats publics sont devenus des réseaux de gouvernance, où des diplômés cooptés se livrent au trafic d’influence. Les cotisations ont alimenté des caisses noires de campagnes électorales. Les syndicats ont aussi permis aux tenants de l’État managérial d’abattre les partenariats politiques locaux au profit de bureaucrates non-élus et n’ayant aucun compte à rendre aux administrés.
Aux problèmes de budget public élastique et de négligence s’ajoute l’incompétence. L’argent alimentant des employés surpayés, voire parasitaires, passe par l’intermédiaire de départements devenus des fiefs d’ethnocentrisme. (Et pas d’ethnocentrisme blanc !) Le métro est devenu une source de rente, un lieu où l’employé gagne beaucoup d’argent sans forcément fournir un très gros travail.

En 2012, le Washington Times s’est penché sur les problèmes du réseau de transport souterrain. Les journalistes ont évoqué une culture de la complaisance, une incompétence généralisée, ainsi que, devinez quoi, un manque de diversité. Notez qu’il ne s’agit pas de « diversité » au sens usuel, gauchiste, où par là on veut dire « noirs » ou « minorités ». Non : on a constaté ouvertement que les tenants du métro étaient des noirs employant d’autres noirs. Le métro, source de rente ébène, manquait fortement de Blancs ! Depuis les choses n’ont pas changé d’un iota. L’ethnocentrisme des noirs, très bien toléré par les élites, est la source même de l’incompétence des employés :

Un jour, le métro recrutait pour une position de management. Parmi les candidats au poste, il y avait un ingénieur blanc en train de terminer son doctorat. Il a été rejeté en faveur d’un noir sachant à peine lire.

La mainmise de noirs sur le métro a conduit à de multiples incidents, à des accidents qui auraient pu être graves, et au final à fermer des lignes entières de métro. L’article de 2012 rapporte que, parmi les conducteurs de bus et de train de Washington DC, 1.4% sont hispaniques et 1.5% sont blancs. Pourtant Washington est peuplé par 40% de Blancs et par 10% d’hispaniques. Pas très représentatif de la population de la ville – ni très divers, le métro étant désespérément sombre et monochrome [NDT : comme l’équipe « de France » ! La diversité, c’est remplacer jusqu’au dernier Blanc]. Si la situation était renversée, s’il y avait une mainmise blanche sur ce métro pensé et construit avec une technologie de Blancs, le New York Times le dénoncerait constamment, et avec lui toute une batterie de médias officiels. Là, non.
Nettoyer les écuries d’Augias du métro washingtonien demanderait un Napoléon ou un César. Ç’a été tenté dans le Michigan. En 2014, une crise sanitaire majeure a touché la ville de Flint. L’eau courante, empoisonnée au plomb, se faisait remarquer par une odeur désagréable et des maladies ont éclaté. Les médias se sont empressés de tout mettre sur le dos du gouverneur de l’État, un Blanc républicain, en pleurant sur le sort des pauvres noirs discriminés par les canalisations. Pour autant, on a très peu remarqué que Flint avait un maire noir, un conseil municipal à majorité noire, et que c’est justement sous ce pouvoir noir que la ville s’est mise à ressembler à Mogadiscio. Quand il y a des noirs au pouvoir et que leurs choix créent des problèmes, c’est la faute des Blancs, ou à pas de chance. Pratique ! En attendant, les fédéraux de la FEMA, qui ont réparé les conséquences de la politique noire de Flint, étaient essentiellement blancs. Fuck white people ! Whites, help us !

Ne croyez pas, cependant, que seuls les Blancs soient attaqués : même Michelle Rhee, une femme d’origine asiatique – deux points de minorité donc déjà un bon score –, s’est retrouvée mise à pied de la gestion des écoles de Washington après qu’elle ait déplu aux roitelets d’ébène.
Aux dernières nouvelles, il n’y a rien que l’élite compte faire officiellement pour résoudre le problème. Dans la plus pure tradition de droite officielle, les républicains se mettent la tête dans le sable et prétendent que le métro n’est de toute façon pas très important, ou qu’il suffit d’attendre que la main invisible du marché sorte une solution de nulle part. Personne n’ose évoquer de vraies solutions. Privatiser le métro – et surtout s’abstenir de renflouer les propriétaires s’ils continuent la malgestion ? Abolir la mainmise noire ? Abolir les privilèges des fonctionnaires ? Non, voyons, tout cela a un parfum de soufre ! Ouvrez plutôt votre portefeuille encore et toujours plus.


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