« Qui fait des études d’économie, ou de finance ici ? » Personne ne se manifeste. « Mais vous êtes en quoi alors ? »
« Mais moi je ne veux pas m’occuper d’électricité dans les université du Burkina Faso ! C’est le travail du président ! » « Ah du coup il est parti réparer la climatisation »
1) Un discret rappel des bons côtés de la colonisation française
Emmanuel Macron a évidemment dénoncé les crimes de « les crimes de la colonisation européenne », en rappelant qu’il n’y a pas eu que du mauvais, mais contrairement à d’autres, il n’a pas tenté de le formuler de manière à faire un effet de « bad buzz » anti-repentance : « Il y a eu des fautes et des crimes, des grandes choses et des histoires heureuses ».
2) Une projection militaire plus rapide au Sahel
Le chef de l’Etat souhaite que la mise en oeuvre de la force conjointe du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad) se fasse plus rapidement que la première opération en octobre.
3) L’exigence de reconnaissance par l’Afrique des sacrifices des troupes françaises
« Il se battent et meurent pour vous sauver. V
ous ne devez qu’une chose pour les soldats français : les applaudir ! »
Interpellé sur la traite négrière en Libye, le président se lâche : « Vous êtes incroyables. Qui sont les trafiquants ? Mais ce sont des Africains mon ami ! Ce sont des Africains ! »
4) La remigration des œuvres d’art africaines
Emmanuel Macron a annoncé la remigration dans les cinq ans d’œuvres d’art africaines : « Je ne peux pas accepter qu’une large part du patrimoine culturel de plusieurs pays africains soit en France. Il y a des explications historiques à cela, mais il n’y a pas de justification valable, durable et inconditionnelle »
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