En attendant, la PrEP a fait ses preuves. À San Francisco, le nombre de nouveaux cas de VIH a chuté de 49 % entre 2012 – année où la PrEP a été autorisée aux États-Unis – et 2016. À Londres, le nombre de nouvelles infections chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes a diminué de 29 % entre 2015 et 2016. Prochaine cible, les personnes nées en Afrique subsaharienne, qui représentent 37 % des cas de nouvelles infections par le VIH en France.
Extrait de sante.lefigaro.fr
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