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#Rome 🇮🇹 Une Italienne de 16 ans droguĂ©e et violĂ©e jusqu’Ă  la mort par un groupe « d’arabes et d’africains Â» : Salvini promet de « nettoyer au bulldozer »

Matteo Salvini a dĂ©clarĂ© : « En tant que ministre de l’IntĂ©rieur, je m’engage Ă  nettoyer et Ă  revenir avec le bulldozer. A Rome, il y a une centaine de bâtiments abandonnĂ©s qui sont occupĂ©s illĂ©galement par des criminels ». C’est ce qu’a dit le ministre de l’IntĂ©rieur lors de sa visite Ă  San Lorenzo, le quartier de Rome oĂą une jeune fille de 16 ans, DĂ©sirĂ©e Mariottini, a Ă©tĂ© violĂ©e et tuĂ©e. Salvini a Ă©galement dĂ©clarĂ© qu’il avait parlĂ© avec le procureur gĂ©nĂ©ral de Rome « à qui j’ai demandĂ© d’utiliser une main de fer ». (Propos recueillis par Ansa.it)

Désirée a été retrouvée morte dans un hangar abandonné, droguée et violée collectivement.

Comme Pamela Mastropietro à Macerata, comme Sara Bosco dans un pavillon abandonné à Forlanini. Même âge, destin analogue. Désirée Mariottini aussi, âgée de 16 ans, de Cisterna di Latina, a été retrouvée morte dans la nuit de jeudi à vendredi dans un bâtiment abandonné du quartier central de San Lorenzo à Rome, s’est retrouvée dans ce lieu, à la recherche de drogue ou peut-être attirée dans un piège.

« Sa vie a été détruite par des Africains »

Désirée a subi des violences de groupe avant de mourir pour des raisons qui restent à déterminer. Peut-être une overdose, seule une expertise toxicologique le dira. L’autopsie a immédiatement mis en évidence que la jeune fille avait été victime d’un viol.

Pendant ce temps, un SĂ©nĂ©galais qui s’est rendu au poste de police a racontĂ© ce qu’il a vu dans le bâtiment : « J’y Ă©tais le soir de sa mort » a dĂ©clarĂ© le tĂ©moin. « Je suis arrivĂ© Ă  minuit et une fille criait. J’ai regardĂ© la femme crier et il y avait une autre fille au lit : ils avaient mis une couverture sur sa tĂŞte mais on pouvait quand mĂŞme la voir. Je ne sais pas si elle respirait, elle semblait dĂ©jĂ  morte, parce que l’autre fille criait et disait qu’elle Ă©tait morte. Il y avait des africains et des arabes, six ou sept personnes. Une autre fille Ă©tait lĂ . Elle criait qu’ils l’avaient violĂ©e. »

Source : La Stampa / Repubblica.it

 


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