Le maire tire la sonnette d’alarme
Nous capitulons face Ă des bandes de jeunes pillards
Début juin, après la fête locale appelée « Emmes », des affrontements se sont produits de nuit, provoqués par plusieurs bandes de jeunes qui, selon les autorités, sont tous d’origine immigrée. Elles ont sévi en ville et ont recherché, agressivement et avec la volonté d’en découdre, l’affrontement avec la police.
Suite à cela, le maire [de Saarlouis, ville de 35 000 habitants située en Sarre, à une dizaine de kilomètres de la frontière française] Peter Demmer (59 ans, SPD) a écrit une lettre enflammée à Klaus Bouillon (71 ans, CDU), ministre de l’Intérieur de Sarre, lui demandant de l’aide et la création de nouveaux emplois de policiers.
Dans le communiqué de presse de la ville, on peut encore lire à ce sujet : « Il y a eu des problèmes massifs après la « Emmes » […] et ceux qui faisaient face à la police étaient tellement en surnombre que l’intégrité physique des policières et des policiers était menacée et qu’ils ont dû se retirer en bon ordre. » (« Et cela bien que les policiers engagés appartenaient à l’Unité opérationnelle dite OpE » [policiers spécialement formés et équipés])
Spécialiste des affaires intérieures, Christoph de Vries (44ans, CDU) est horrifié […] : »On ne peut pas permettre que des bandes violentes de jeunes puissent impunément terroriser les habitants de nos villes et que la police, par manque de personnel, ne soit pas en mesure d’y mettre un terme. »
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