Source : La dépêche.
– Comportement typique :
- Oisiveté comme prétexte à la déliquescence.
- Absence du moindre respect de l’autre (en particulier de l’autochtone blanc).
- Recherche de la confrontation physique, à trois contre un si possible.
- Initiation par le jeu en bande, de futurs comportements criminels tels que le cambriolage ou le homejacking.
– Extraits choisis de l’article de La Dépêche :
« Chaleur, beau temps et comme une envie irrésistible de se baigner… Ceux qui n’ont ni piscine ni point d’eau à proximité sont alors parfois tentés d’aller piquer une tête… chez les voisins ! »
-> Insupportable empathie pour les racailles. « Envie irrésistible », ton humoristique pour ce qui est une violation grave et traumatisante de son domicile personnel.
« D’autant que l’occupation du site est parfois associée à des incivilités : nuisances sonores, dégradations des lieux, consommation d’alcool ou de stupéfiants. »
« Même si on renforce la sécurité, les squatteurs arrivent à détourner les codes, les barrières. Alors on s’est rapidement tourné vers des sociétés privées. »
-> Démission de l’État et de la Police, désarmée par le laxisme judiciaire.
« Cependant, il est parfois difficile de prouver que le squatteur n’a aucune légitimité à être là. Surtout quand il affirme être le cousin d’un résident et qu’il a l’autorisation de profiter de la piscine… »
-> Mensonge éhonté de la part des racailles et acceptation de ce mensonge odieux par les forces de l’ordre.
Voilà. Encore un fait divers qui concentre les maux du système policier et judiciaire.
Dans une situation comme celle ci, le communautarisme blanc et une action musclée corrective seraient certainement plus efficace.
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