Le journaliste de Svenska Dagbladet (SD), Per Gudmundsson, écrit que les coûts nets du réfugié moyen sont plus élevés que prévu. Gudmondsson fonde son opinion sur un rapport financier publié par l’institut de recherche suédois de l’ESO en début de semaine.
Gudmundsson dit que certains groupes d’immigrés sont encore plus coûteux en raison des échecs d’intégration et des coûts de main-d’œuvre. Par conséquent, les coûts d’un réfugié ou d’un demandeur d’asile sont plus élevés que ce que l’on pensait auparavant, 291 000 euros (3 millions de couronnes) au cours de leur vie.
« Les coûts réels sont plus élevés car aucun coût direct n’a été calculé, par exemple, le coût de l’emploi subventionné », dit-il.
La population migrante suédoise est passée de 690 000 en 2015 à 830 000 en 2017. Le rapport de l’ESO indique que «les réfugiés qui immigrent aujourd’hui devraient vivre en moyenne 58,3 ans en Suède».
Pendant ces années, un demandeur d’asile ayant un potentiel moyen d’intégration devrait représenter un coût net pour les finances publiques de la Suède de 7 184 euros en moyenne par an. »
Si vous multipliez 7 184 euros par réfugié x 58,3 (durée de vie moyenne) les coûts par réfugié sera de 418 827 euros au cours de leur vie en Suède.
En multipliant cela par le nombre total de réfugiés, nous obtenons le coût total pour tous les réfugiés au cours de leur vie :
418 827 x 830 000 = 347 milliards d’euros ou 3 580 milliards de couronnes suédoises.
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