Une mère suédoise qui fréquentait un réfugié afghan a refusé de le dénoncer à la police après qu’il ait abusé de sa fille de 12 ans.
Un migrant afghan qui a violé une Suédoise de 12 ans n’a pas été dénoncé à la police – parce que la mère de l’enfant sortait avec lui.
Abdul Dostmohammadi, 18 ans, vivait avec sa « petite amie » de 45 ans à Sölvesborg, dans le sud de la Suède, lorsqu’il a agressé sexuellement l’enfant de 12 ans.
Quand sa fille lui a dit ce qui s’était passé, la mère a refusé de le dénoncer à la police car elle craignait que son amant soit renvoyé en Afghanistan, révèlent les documents judiciaires.
L’agresseur a emménagé dans la maison en novembre 2016 et a entamé une relation avec la mère un mois plus tard. Selon l’adolescente de 12 ans, qui partage son temps entre la maison de sa mère et celle de son père, Dostmohammadi «aime les câlins, mais les câlins mènent à des baisers sur ses joues qu’elle pense être un peu trop près de sa bouche. »
Dostmohammadi et la mère de 45 ans, qui avaient récemment mis fin à leur relation amoureuse, avaient bu tous les deux ce soir-là, Dostmohammadi et l’enfant de 12 ans ont commencé à danser dans le salon, quand il a commencé à la toucher «d’une manière qui ne lui plaisait pas».
Quand la mère est allée dans la salle de bain, l’afghan a mis sa main sous la robe et les sous-vêtements de la petite fille et a touché ses parties génitales, elle a ensuite raconté cela à sa mère qui a refusé de prendre des mesures.
L’agresseur a été autorisé à rester dans la maison familiale.
Quatre jours après l’incident, la jeune fille a demandé à rester avec son père puis a raconté à sa sœur aînée les événements avant que cette dernière ne prévienne leur père.
Le père l’a signalé à la police puis en a parlé à son ex-femme, qui a confié «n’avoir pas voulu le signaler» parce qu’elle avait peur que Dostmohammadi doive quitter la Suède si c’était le cas.
Dostmohammadi a été reconnu coupable d’agression sexuelle et a été condamné à trois mois de prison avec sursis et à 100 heures de service communautaire.
Il devra également payer à la victime 15 000 couronnes (1 336 £) en compensation.
Via Dailymail
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