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Tremblay : les juges rouges, le CCIF et le politiquement correct ont encore frappé

On se souvient tous de la fameuse affaire médiatique qui avait secoué la petite ville de Tremblay et son restaurant « le Cénacle » : le verdict est tombé hier, le restaurateur est condamné à 5000 euros d’amende et deux mois de publication judiciaire de la décision, conformément à ce qu’avait requis la procureure.
Nul n’a semble-t-il jugé utile de pousser les investigations quant à ce qui s’apparentait de toute évidence à un coup monté (caméra cachée lors d’un « diner entre amies »), se contentant de la prétendue bonne foi des accusatrices.
Lors du procès l’avocat de la défense n’a pas hésité à faire un parallèle entre le refus de servir ces clientes voilées par le restaurateur et la Shoah, comparant ainsi indirectement le prévenu à un nazi.

Moralement comme commercialement, le pauvre homme avait déjà un pied dans la tombe, la justice vient d’enfoncer les derniers clous.
Pour une seule diatribe anti-muzz lourdement sanctionnée, combien de milliers d’agressions et d’insultes anti-blancs au quotidien restées impunies ? Combien de temps encore la justice s’amusera-t-elle à ne condamner le racisme que dans un sens, trouvant toutes les excuses possibles pour les CPF tandis que le camp opposé n’en a aucune ?
Rappelons à ce titre que le restaurateur avait perdu une connaissance au Bataclan mais apparemment ce n’est pas une circonstance atténuante pour la justice.

Source : le Parisien

Joe Bauers


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