Le sommet était censé dénoncer la partialité de Twitter, Facebook ou Google dans leur traitement de la droite. Leur « énorme malhonnêteté », comme l’a dit M. Trump, qui avait d’ailleurs préféré ne pas les inviter. Il a tourné au one-man-show, M. Trump tenant la vedette devant un Who’s Who des médias en ligne nationalistes et complotistes : James O’Keefe, de Project Veritas, qui a publié avant la rencontre une vidéo attestant, selon lui, du biais libéral de Google ; Ali Alexander, un blogueur qui s’est illustré en attaquant les origines de la sénatrice Kamala Harris ; l’animateur radio de l’alt-right (courant de l’extrême droite américaine) Bill Mitchell ; et un troll se faisant appeler « Carpe Donktum » et populaire sur le site InfoWars …
En savoir plus sur Notre Quotidien
Subscribe to get the latest posts sent to your email.