Des violeurs étrangers et des victimes « très souvent » blanches
Le planning de la cour d’Assises est éloquent : sur trois semaines, jusqu’au 5 juillet, trois affaires de viols seront jugées, avec quinze parties civiles. A chaque fois, l’accusé est d’origine étrangère, et il y a un traducteur : celui de la semaine du 24 au 28, jugé par la cour d’Assises des mineurs, donc anonymisé, est confronté à pas moins de neuf parties civiles, avec des viols aggravés et des viols sous la menace d’une arme. La semaine suivante, il s’agit d’un autre homme mis en accusation le 1er août 2018, avec cinq parties civiles.
Un policier nantais confirme : « les viols sont en augmentation, et très souvent, les victimes sont blanches. Quant aux violeurs, ils sont souvent d’origine nord-africaine, souvent aussi ils se font passer pour mineurs, parfois ils sont titulaires d’un mariage de complaisance. Mais cette vérité n’est pas bonne à dire ». Au risque de remettre en cause le dogme de « l’enrichissement culturel » et ses porte-étendards clandestins et délinquants, dont le membre tient lieu de sabre et la drogue qu’ils consomment en abondance, d’excuse.
Source : breizh-info.com
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