Parmi les 120 femmes tuées en 2018, un tiers s’était déjà rendu à la police pour déposer une plainte ou une main courante. C’est ce que révèle une enquête menée par un groupe de journalistes du Monde. “Dans ces affaires, moins de témoins sont entendus et les vérifications sont plus rares que dans d’autres dossiers de droit commun“, expliquent les journalistes. La publication de cette enquête intervient dans le contexte du Grenelle des violences conjugales lancé par Marlène Schiappa.
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