« Je ne savais plus oĂč jâĂ©tais ! Si câĂ©tait un cauchemar ou la rĂ©alitĂ© ! ».âCamila nâen revient toujours pas. Cette Ă©tudiante est encore Ă©berluĂ©e par ce qui lui est arrivĂ©.
Il Ă©tait 8 h 50. Elle Ă©tait en train de dormir dans sa chambre de la citĂ© universitaire. La jeune fille a soudain Ă©tĂ© tirĂ©e de son sommeil par des coups frappĂ©s sur la cloison en bois, juste au-dessus de sa tĂȘte. Elle a ouvert les yeux. Et lĂ , stupeur, elle a vu une forme noire au pied de son lit. Un homme. Un agent de service du CROUS.
« Il venait de taper sur la cloison pour me rĂ©veiller. Je ne sais pas depuis combien de temps, il Ă©tait lĂ . JâĂ©tais dĂ©nudĂ©e dans mon lit, allongĂ©e sur le ventre. Jâai eu trĂšs peur. Jâen avais des palpitations. Jâai immĂ©diatement rabattu ma couette sur moi », raconte lâĂ©tudiante.
LâemployĂ© du CROUS aurait alors expliquĂ© quâil Ă©tait lĂ pour rĂ©parer la chasse dâeau. Un rendez-vous Ă©tait bien prĂ©vu⊠mais la veille.
Source :Â Est RĂ©publicain via fdesouche
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