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🇨🇭 Une pieuse chrĂ©tienne recueille un migrant dans une Ă©glise : elle finit avec un anus artificiel après 3 mois de viols

Lundi, la justice suisse a condamnĂ© un homme de 53 ans sans domicile fixe Ă  deux ans de prison avec sursis et dix ans d’interdiction de territoire. Il a ainsi Ă©tĂ© reconnu coupable d’avoir violĂ© la femme qui l’hĂ©bergeait.

Elle fait la connaissance de son futur violeur dans une Ă©glise via l’intermĂ©diaire d’une amie fervante chrĂ©tienne

Les faits remontent à 2017. Cette année-là à Bâle, en Suisse, une femme malade avait rencontré un homme sans domicile fixe dans l’église San Matteo. C’est après avoir décidé de l’héberger et juste après qu’ils étaient rentrés chez elle que l’homme a montré un visage que la bonne samaritaine était loin de s’imaginer. Elle raconte que le sans-abri n’a pas attendu davantage pour se jeter sur elle et lui arracher le pantalon en la tenant par le bras. Il l’aurait ensuite traînée jusqu’au lit avant de la violer.

RĂ©duite en esclavage sexuel par son prochain, elle devra porter un anus artificiel

La femme aurait de nouveau connu ces sĂ©vices et ce pendant trois mois, rapporte Actu17. C’est ce qu’elle a expliquĂ© lundi lors du procès de son agresseur prĂ©sumĂ©. Elle pensait “faire une bonne action”, expliquant ĂŞtre “très croyante”. La victime reconnaĂ®t avoir Ă©té “si naĂŻve” d’avoir “proposĂ© [Ă  cet homme] de rester dans la chambre d’amis”. Durant l’audience, on a appris par le Ministère public que l’un des viols avait Ă©tĂ© commis d’une manière tellement brutale que la victime a dĂ» se faire hospitaliser dans le cadre d’une greffe d’un anus artificiel. (…)

Le migrant ne mettra pas les pieds un seul jour en prison

Alors que le procureur avait requis cinq ans de prison et douze années d’interdiction de territoire (l’accusé est d’origine bulgare), l’avocat du prévenu ayant quant à lui plaidé la relaxe de son client au bénéfice du doute, le tribunal a finalement décidé d’une peine de deux ans d’emprisonnement avec sursis. Le quinquagénaire ne pourra de même pas retourner en Suisse avant un minimum de dix ans.

Source : 24 Matins


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