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Une victime des Pakistanais témoigne : « Ils me traitaient de pute blanche et me punissaient car je n’étais pas musulmane. C’était du terrorisme, pas de la pédophilie »

Dans une tribune publiée dans l’Independent, Ella Hill, une victime des gangs de violeurs, raconte le véritable djihad pédophile que ces Pakistanais mènent contre les enfants blanches en Angleterre. « En tant que survivante d’un gang de violeurs pakistanais à Rotherham, je veux que les gens connaissent l’extrémisme religieux qui a inspiré mes agresseurs. »

Elle explique que les gangs de violeurs ne sont pas comme des réseaux pédophiles, mais fonctionnent presque exactement comme des réseaux terroristes, avec à peu près les mêmes stratégies. Menaces de mort, chantages, torture,

Adolescente, elle fut réduite en esclavage par les Pakistanais qui l’ont emmenée dans plusieurs maisons ou appartements au-dessus d’établissements de restauration rapide dans le nord de l’Angleterre, pour être battue, torturée et violée plus de 100 fois. Elle explique que ses bourreaux prenaient plaisir à la traiter de « pute blanche » lorsqu’ils la battaient.

« Ils ont précisé que parce que j’étais une non-musulmane, que je n’étais pas vierge, et parce que je ne m’habillais pas «modestement», ils estimaient que je méritais d’être « punie ». Ils m’ont dit que je devais « obéir » ou être battue. »

La peur d’être tuée et les menaces qui pèsent sur la vie de mes parents l’ont empêchée de s’échapper pendant environ un an. La police ne l’a bien sûr pas aidée, trop occupée à étouffer l’affaire pour ne pas troubler la formidable aventure multiculturelle dans laquelle le Royaume-Uni s’enfonce depuis des décennies.

« Comme les terroristes, ils croient fermement que les crimes qu’ils commettent sont justifiés par leurs croyances religieuses. »

Les experts expliquent que ces gangs de Pakistanais ne sont pas comparables avec des réseaux pédophiles ordinaires. L’endoctrinement religieux est une partie importante du processus de recrutement de jeunes hommes voulant intégrer ces gangs de violeurs. Les idées religieuses sur la pureté, la virginité, la modestie vestimentaire et l’obéissance sont poussées à l’extrême jusqu’à ce que les abus horribles deviennent la norme.

Ella Hill raconte que son principal agresseur lui citait des versets du Coran en la rouant de coups. On lui expliquait que les femmes blanches ne valaient rien parce qu’elles ne se voilent pas et couchent avec « des centaines d’hommes », et qu’elles méritaient donc d’être violées dans des tournantes.

On peut donc bien parler d’un véritable djihad pédophile, pour désigner ce déferlement de haine contre les jeunes femmes blanches.

Parmi 1400 jeunes filles violées à Roterham, plus de 100 petits métis sont nés… autant de rappels vivants de leur calvaire de victimes abandonnées par les autorités parce que trop blanches pour être sauvées.

Les Pakistanais ont violé pendant 40 ans sans que les autorités ne fassent rien, préférant préserver le fameux « vivre ensemble » qu’on impose aux Européennes par la ruse ou par la force. Les antiracistes qui refusent de voir la réalité raciale et religieuse en face sont les parfaits complices de ces pédocriminels.

Une personne qui exige que vous vous taisiez sur les origines de ceux qui vous emmerdent dans la rue, c’est souvent une personne qui préfère ne rien savoir et étouffer l’affaire dans l’œuf quand la réalité est trop raciste pour son petit cœur fragile.

La sensiblerie et le politiquement correct détruisent des vies.


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