«Je ne savais pas que je perdrais mon emploi parce que je n’avais pas compris que la tolérance zéro signifiait qu’on pouvait sortir le mot de tout contexte, a dit Anderson à la presse locale. Le district doit m’expliquer comment un homme noir peut perdre son emploi juste parce qu’il a demandé à un élève de ne pas l’appeler par le « n-word » [nègre]». La proviseure de l’établissement a expliqué dans un e-mail que «quels que soient le contexte et les circonstances, les insultes raciales ne sont pas acceptables dans nos écoles.» Plusieurs autres employés avaient déjà été licenciés en raison de cette politique de tolérance zéro. […]
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